2000 ans plus tard, c’est la Compagnie, La Bande W (ou La Weshe), basée à Château-Thierry, qui propose plusieurs séries d’impromptus, en jouant quelques tableaux revisités de l’œuvre d’Ovide. Voir plus
Lorsque l’on s’approche de l’entrée de la Cité des bateliers de Longueil-Annel, de drôles de bruits s’échappent du jardin : meuglements, clacs métalliques de stabulation, pas dans la paille… Voir plus
Pour trouver le Jardin des partages, il faut quitter le Mesnil Théribus, un petit village aux portes du Vexin, serpenter jusqu’aux Landes et enfin, au bout d’une impasse, se dessine cet îlot de verdure où se retrouvent, chaque week-end, amateurs et amatrices de jardinage, de maraîchage et de nature. En ce samedi 3 septembre, s'y pressent aussi des amateurs de culture, curieux du spectacle proposé par la compagnie des 100 Mobiles. Voir plus
Le noir se fait dans la salle, puis le rideau rouge s’ouvre sur la toute petite scène. Le spectacle Le Montreur de fables va commencer. Les trois interprètes – un comédien, une chanteuse lyrique et un violoniste – rentrent alors dans le bus. Dans cet espace réduit, le comédien Raphaël Robert parle de la tradition des fables, de l’écrivain grec Esope et de Jean de La Fontaine. Puis il revisite avec beaucoup d’extravagance, de gestes et d’expressions du visage, Le Corbeau et le renard. La soprano Stéphanie Révillion donne aussi son interprétation, chantant les vers, accompagné d’un tambourin qu’elle agite et des traits mélodieux du violon baroque joué par Xavier Sichel. Les spectateurs se plongent alors pleinement dans la proposition, oubliant complètement que la salle de spectacle est un bus. Voir plus
Une curieuse équipe fait son apparition ce vendredi matin sur le marché place de la gare à Merlimont (62). Le mois d'août n'a pas encore épuisé son lot de vacanciers, pourtant l'affluence n'est pas en croissance folle quand la Compagnie Détournoyment franchit le premier stand. Voir plus
Un samedi matin comme les autres, en plein mois d’août, sur le marché de la ville de Péronne, le soleil caresse les épaules nues et les badauds sourient. Et si on leur donnait la parole, que diraient-ils ? Si on incitait les plus timides à écrire des petits messages pour que ces derniers soient lus par Émilie Guil, comédienne, assistée de Jean-Benoît Beauchant, contre-bassiste, de la Compagnie les Bourgeois de Kiev ? Et si, cerise sur le gâteau, toute cette opération d’expression et de communication ne requérait aucune énergie artificielle ? Si ce n’était aucunement polluant ? Voir plus