Plonger dans sa Nature intime
En effet, en ce lundi 17 juillet 2023 à Pont-Remy, la compagnie Correspondances a livré un délicat impromptu autour du livre Spirale, publié pour la première fois en 1971.
En effet, en ce lundi 17 juillet 2023 à Pont-Remy, la compagnie Correspondances a livré un délicat impromptu autour du livre Spirale, publié pour la première fois en 1971.
Discrètement, i·elles repèrent les lieux. Leur regard se promène ça et là. Une pierre, une table, un chemin. I·elles se concertent. Patiemment, i·elles attendent leur heure. Le moment propice pour sortir de l’invisibilité ordinaire. I·elles disparaissent un instant.
quatre comédiennes, portées par le Théâtre Charnière, incarnent le magnifique texte de Léonora Miano, « Ce qu’il faut dire », publié en 2019. Décliné en trois volets, elles ont interprété deux d’entre eux lors du festival Playtime, mercredi 5 juillet aux abords du centre culturel Jacques Tati.
13 octobre à la Maison Pour Tous de Rivery (80), Stéphanie COLLONVILLE et Stéphane LEHODEY de l’Association PHONOTOPIE proposent un impromptu
« Heures célestes », c’est une expérience sensorielle à laquelle Amélie Marneffe accompagnée par Valérie Leclercq invite les enfants de l’école Victorien Girot à Friville-Escarbotin. Reportage en images réalisé par Sylvie Coren.
« Plaine d’été » était pour Caroline Décloitre et Nicolas Tarridec de La Compagnie HEJ HEJ TAK, l’opportunité de créer le spectacle « Même nos ombres s’aiment quand on marche » ; une mise en voix et en musique d’après le texte de Chantal Akerman « Ma mère rit » publié aux éditions Mercure de France. C’était aussi l’occasion de le jouer auprès de différents publics et dans des lieux variés. Vendredi 16 septembre, le spectacle était joué à la médiathèque de Chaulnes. Un reportage en images réalisé par Sylvie Coren.
La compagnie de danse contemporaine Mouvemen(T)és a investi pendant une heure, la salle polyvalente d’une pension de famille à Amiens, ce mercredi 7 septembre. Un trio, les danseurs Aurore Floreancig et Clément Olivier, et une violoncelliste, Clémence Issartel, qui a captivé les résidents.
Un samedi matin comme les autres, en plein mois d’août, sur le marché de la ville de Péronne, le soleil caresse les épaules nues et les badauds sourient. Et si on leur donnait la parole, que diraient-ils ? Si on incitait les plus timides à écrire des petits messages pour que ces derniers soient lus par Émilie Guil, comédienne, assistée de Jean-Benoît Beauchant, contre-bassiste, de la Compagnie les Bourgeois de Kiev ? Et si, cerise sur le gâteau, toute cette opération d’expression et de communication ne requérait aucune énergie artificielle ? Si ce n’était aucunement polluant ?
tel est le beau défi initié par le Collectif Marie et Gotié à l’occasion de Plaines d’été. Pour bien ce faire, le duo a imaginé et construit un astucieux meuble-malle à tiroirs, pliable, transportable et merveilleusement bleu turquoise rétro. On y trouve tout ou presque ce qui est utile à l’élaboration de cet imagier. Matériellement. Pour les illustrations, Marie et Gotié vont directement voir les gens. Vendredi 29 juillet, ils étaient à la Bibliothèque Édouard David. Cette dernière occupant encore pour quelques temps les locaux de l’école de musique le Diapason au quartier Étouvie d’Amiens.
le binôme Marc Duport et Christophe Giffard a livré une variation du domaine public. À savoir une intervention ayant pour but d’interpeller le spectateur