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Somme

De la poésie de l’errance

Discrètement, i·elles repèrent les lieux. Leur regard se promène ça et là. Une pierre, une table, un chemin. I·elles se concertent. Patiemment, i·elles attendent leur heure. Le moment propice pour sortir de l’invisibilité ordinaire. I·elles disparaissent un instant.

« Ce qu’il faut dire », pour rendre justice

quatre comédiennes, portées par le Théâtre Charnière, incarnent le magnifique texte de Léonora Miano, « Ce qu’il faut dire », publié en 2019. Décliné en trois volets, elles ont interprété deux d’entre eux lors du festival Playtime, mercredi 5 juillet aux abords du centre culturel Jacques Tati.

Une expérience sensorielle avec Amélie Marneffe

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« Heures célestes », c’est une expérience sensorielle à laquelle Amélie Marneffe accompagnée par Valérie Leclercq invite les enfants de l’école Victorien Girot à Friville-Escarbotin. Reportage en images réalisé par Sylvie Coren.

Même nos ombres s’aiment quand on marche

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« Plaine d’été » était pour Caroline Décloitre et Nicolas Tarridec de La Compagnie HEJ HEJ TAK, l’opportunité de créer le spectacle « Même nos ombres s’aiment quand on marche » ; une mise en voix et en musique d’après le texte de Chantal Akerman « Ma mère rit » publié aux éditions Mercure de France. C’était aussi l’occasion de le jouer auprès de différents publics et dans des lieux variés. Vendredi 16 septembre, le spectacle était joué à la médiathèque de Chaulnes. Un reportage en images réalisé par Sylvie Coren.

On les entend respirer, ils nous regardent dans les yeux, c’est chouette

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La compagnie de danse contemporaine Mouvemen(T)és a investi pendant une heure, la salle polyvalente d’une pension de famille à Amiens, ce mercredi 7 septembre. Un trio, les danseurs Aurore Floreancig et Clément Olivier, et une violoncelliste, Clémence Issartel, qui a captivé les résidents.

Méta-Vert, l’Amour pour seule électricité

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Un samedi matin comme les autres, en plein mois d’août, sur le marché de la ville de Péronne, le soleil caresse les épaules nues et les badauds sourient. Et si on leur donnait la parole, que diraient-ils ? Si on incitait les plus timides à écrire des petits messages pour que ces derniers soient lus par Émilie Guil, comédienne, assistée de Jean-Benoît Beauchant, contre-bassiste, de la Compagnie les Bourgeois de Kiev ? Et si, cerise sur le gâteau, toute cette opération d’expression et de communication ne requérait aucune énergie artificielle ? Si ce n’était aucunement polluant ?

Le quotidien s’illustre avec le Collectif Marie et Gotié

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tel est le beau défi initié par le Collectif Marie et Gotié à l’occasion de Plaines d’été. Pour bien ce faire, le duo a imaginé et construit un astucieux meuble-malle à tiroirs, pliable, transportable et merveilleusement bleu turquoise rétro. On y trouve tout ou presque ce qui est utile à l’élaboration de cet imagier. Matériellement. Pour les illustrations, Marie et Gotié vont directement voir les gens. Vendredi 29 juillet, ils étaient à la Bibliothèque Édouard David. Cette dernière occupant encore pour quelques temps les locaux de l’école de musique le Diapason au quartier Étouvie d’Amiens.

Et le respect dans tout ça ?

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le binôme Marc Duport et Christophe Giffard a livré une variation du domaine public. À savoir une intervention ayant pour but d’interpeller le spectateur

Le bruit du silence et du reste

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Tel était le programme proposé par TSIMzoom asbl. Plus exactement d’une part Anne Versailles, qui se définit comme poète, marcheuse, réalisatrice de petites œuvres mix-média, performeuse et pédagogue. Et d’autre part Geoffroy, photographe et accompagnateur de randonnées wilderness en montagne. « Cela fait 40 ans que nous partageons notre vie mais au niveau artistique, il m’accompagne quelques fois pour certains projets, » explique Anne Versailles.