A travers le solo chorégraphique "Souvent je commence par tomber", un mélange de danse et texte, la chorégraphe raconte l'enfance à la campagne, le conservatoire loin du village et de la maison,“pas pour des gens comme nous”, le rôle crucial de toutes petites structures associatives comme élan vers d’autres horizons et espace-temps de rencontres, les bals du village. Elle raconte les refus et les obstacles qu'il a fallu franchir avec patience, persévérance, mais aussi les mains tendues, la joie de danser, l'amour de l'art, et le plaisir du partage et de la transmission.